Les claviers:
Une merveille de construction mécanique. Neuf contacts pour une seule et unique touche (autant que le nombre de drawbars) commutant le signal sinusoïdal provenant directement des roues phoniques sur les Busbars (barre métallique en palladium qui forme le contact, ces neufs longues barres de contact recueillent les signaux sur toute la longueur du clavier sont reliées aux drawbars un par un. Sur chaque contact, un fil de métal rare soudé point par point, et pareil sur chaque Busbar un travail de précision merveilleux. La qualité de ces contacts et leur qualitée de commutation aléatoire comme le fameux (key-click) est exceptionnel, L'organiste peut arriver à contrôler l'enfoncement des contacts par la finesse de son toucher, donc les harmoniques jouées par rapport à chaque note de sorte à faire percevoir 9 sons un par un sur une seule touche, tout ça grâce à la fitnesse du doigt.
Vue sur le système des 9 contacts:
Chaque contact était relié au générateur à roues phoniques par environ 1,50 m de fil résistif de 220 Ohms. À 8000 Hz, sur des oscilloscopes, sans aucune roues phoniques, il y avait encore des notes audibles. Pour les Foldbacks, Le B-3 reprenait à l'octave inférieur et ainsi de suite pour alimenter en sons toutes les touches jusqu'à la note la plus haute (le 5ième octave).
Vue sur les Bussbars: (tige de gauche)
Vue sur les cléfs de contacts des claviers:
Sur cette photo l'on voit très bien deux Bussbars sortis:
Vue sur les Key Combs, feutre (peignes) qui servent à amortir le jeu:
